La rencontre de deux fortes personnalités : Didier Raynal et Patrick Bertossi.
Une amitié aux accents du Sud-Ouest. Une passion commune.
C’est ainsi que l’histoire de Plaisirs du Vin commence, avec pour seul objectif de partager ce goût pour le vin et la gastronomie avec le plus grand nombre.
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Derrière chaque bouteille de vin il y a une femme, un homme, sa sueur, ses doutes, ses convictions...
Notre philosophie :
« Le travail des hommes ne vaut que si nous lui portons toute notre attention »
Depuis 30 ans maintenant nous jouons le rôle de passeur entre vous, amateurs, et eux, vignerons. Cela ne peut se faire que dans le respect du travail accompli, dans la recherche du beau, du bon et surtout du goût pour les rencontres, pour les gens et leur terroir.
C’est cette dynamique et cette curiosité constante qui nous permettent, aujourd’hui, de collaborer avec plus de 650 vignerons et d’être fiers de pouvoir vous proposer un éventail riche de quelques 6000 cuvées.
Notre équipe de cavistes travaille au plus près des domaines, en lien direct avec le monde de la vigne.
Rien n’est jamais considéré comme acquis : leur formation est permanente.
Dans chaque boutique Plaisirs du Vin vous trouverez une personne à votre écoute, vous assurant un conseil précis et personnalisé, que cela concerne le service, la garde ou les accords mets et vins envisageables.
On ne choisit pas une bouteille au hasard, chaque vin est porteur de son histoire, nous sommes là pour vous la raconter.
À 23 ans, Thierry Germain débarque de son Bordelais natal.
Choc thermique. Il faudra vingt ans à la douceur angevine pour l'amadouer. Le girondin fougueux a fini d'imposer. Il s'est posé, a grandi, jusqu'à se faire plus petit que le végétal auquel il est soumis. Les yeux grands ouverts sur le vent qui conditionne le vin.
La biodynamie n’est pas un mode de culture, c’est un mode d’ouverture qui ne se conçoit que si l’équipe se l’approprie et s’implique. Ne pas contraindre, tailler dans le sens de circulation de la sève, dans le sens du pas de l’homme. Guider la liane naissante sans l’entasser pour la laisser respirer. Ne pas couper les jambes de la vigne : Ne pas saigner,ne pas blesser, ne pas stresser, pour gagner en maturité. En rognant, on relance la production des feuilles. En laissant la plante dans son cycle, jusqu’à l’aboutissement des vrilles, elle va alors se tourner vers son fruit pour le nourrir (de même : ne pas tondre, laisser aller chaque plante jusqu’à la graine qui propage la diversité et favorise aussi celle des levures).
La terre nourricière couve la vie. Ce cordon maternel est l’objet de toutes les attentions pour que le végétal s’élance enfin vers l’air et la lumière, son énergie vitale. Cheminement vers l’idéal de la grappe entière l’énergie reste protégée par la pellicule de moins en moins manipulée pour en préserver la pureté.